Memento
Mazelfreten
Public :
Tout public
Durée :
55 minutes
Genre :
Danse
Chorégraphes :
Laura Nala Defretin et Brandon Miel Masele
Danseur-euses :
Laura Nala Defretin, Brandon Miel Masele, Maksim Myax Aleshichev, Aisi Joyce Zhou, Filipe Filfrap Silva Perreira, Lola Serrano ; remplaçante : Maryne Reverse Esteban
Création lumière :
Judith Leray
Création musicale :
NiKit, Kciv, NGLS
Création costumes :
Mathilde Lhomme et Isaac Sanka
Coproductions :
Maison du Théâtre et de la Danse - Epinay-sur-Seine, IADU – Fondation de France, La Villette 2022, Points communs - Nouvelle Scène nationale de Cergy-Pontoise - Val d'Oise, Théâtre Corbeil Essonne - Grand Paris Sud, Centre Chorégraphique national de région Bretagne, Espace 1789 scène conventionnée de Saint-Ouen, Ville d’Argenteuil et Centre des arts scène conventionnée d’Enghien-les-Bains
Brandon Masele et Laura Defretin nous proposent avec Memento un retour aux sources: après le succès de Rave Lucid qui les a projetés sur le devant de la scène comme une compagnie électro, ce duo de chorégraphes français souhaite réaffirmer son identité de compagnie mêlant leurs deux styles de danse hip-hop et électro. Pour défendre ces idées, ils ont choisi trois danseurs électro et trois danseuses hip-hop venant de Chine, de Russie, du Cap-Vert et de France. Ils souhaitent confronter sur scène la vraie rencontre de ces deux gestuelles, à travers différents genres, différents corps, différentes cultures et différentes origines.
Memento est une vue sur leur réalité en tant que créatifs, évidemment, mais aussi en tant qu’êtres humains. C'est une pièce au parcours immersif dans l’intime des chorégraphes et de leurs interprètes.
La traversée de trois années de crise a suscité chez Brandon et Laura le besoin de s’appuyer un maximum sur ce qui les transcende et leur fait du bien. Liés par leur amour mutuel pour la danse, ils ont décidé de le placer au centre de leur quotidien dans le but de créer un environnement positif et propice à la concrétisation de leurs besoins et désirs. Entre paroles de sagesse, humeurs et état d’esprit, tel un manifeste, ils souhaitent diffuser un message qui leur ressemble, un message qui nous rassemble.
Dans cette nouvelle pièce, le traditionnel tapis de danse noir est remplacé par un tapis blanc pour valoriser d’avantage le mouvement des interprètes. La couleur blanche ouvre le champ des possibilités pour la création lumière, signée Judith Leray. L’idée étant d'obtenir une superposition de couleurs et de contrastes, jouer sur des nuances clair/obscur. Une composition musicale originale alliant musiques électronique et acoustique vient ajouter à cette création une dimension hétéroclites sur le plan sensoriel.
Les dates
Oyonnax (01)
: Centre culturel Louis Aragon
25 septembre 2025
Cormeilles en Parisis (95)
: Théâtre du Cormier
3 octobre 2025
Bourgoin Jallieu (38)
: Théâtre Jean Vilar
14 octobre 2025
Albertville (73)
: Le Dôme Théâtre
4 novembre 2025
Meylan (38)
: SNA L'Hexagone
5 novembre 2025
Clermont Ferrand (63)
: SNA La Comédie
6 novembre 2025
Clermont Ferrand (63)
: SNA La Comédie
7 novembre 2025
Clermont Ferrand (63)
: SNA La Comédie
8 novembre 2025
Bouguenais (44)
: Le Piano'cktail
14 novembre 2025
Pully (CH)
: L'Octogone
21 novembre 2025
Gonfreville l'Orcher (76)
: Espace de la Pointe de Caux
29 novembre 2025
Valence (26)
: SNA Lux
11 décembre 2025
Valence (26)
: SNA Lux
12 décembre 2025
Lillebonne (76)
: Centre Juliobona
20 janvier 2026
Lille (59)
: Le FLOW
29 janvier 2026
Villepinte (93)
: Espaces V
13 février 2026
Chartres (28)
: Théâtre de Chartres
10 mars 2026
Châtellerault (86)
: Nouveau Théâtre
12 mars 2026
Coulommiers (77)
: La sucrerie
10 avril 2026
Fontenay le Comte (85)
: Espace culturel René Cassin
28 avril 2026
Rungis (94)
: Théâtre de Rungis
29 mai 2026
Bezons (95)
: Théâtre Paul Eluard
30 mai 2026
La presse en parle
Structurée et atmosphérique, ponctuée de trouvailles sensibles, notamment liées au travail des bras, cette pièce, avec laquelle le duo entend partager ses valeurs, dont la contemplation et la poésie, se savoure sur une musique électro-acoustique.
Rosita Boisseau – Le Monde